Septembre étant un mois chargé, avec la rentrée scolaire et la reprise des activités diverses et variées, mon bilan lecture est assez léger… par rapport aux mois précédents !
Mon coup de coeur :
Sous un grand ciel bleu, d’Anna McPartlin
Quatrième de couverture : « Rabbit Hayes est morte, laissant derrière elle une famille brisée par le chagrin.
Désespérée, sa mère Molly se questionne sur sa foi tandis que son père Jack s’enferme dans le grenier durant des heures pour se perdre dans ses journaux intimes. Et peut-être son passé.
C’est à Davey, son frère, qu’on confie la garde de Juliet, douze ans, que Rabbit élevait seule.
Mais comment aider Juliet à surmonter son chagrin quand lui-même parvient à peine à faire face au sien ?
Il faudra du temps et beaucoup de courage aux Hayes pour réinventer leur vie ensemble. Mais le souvenir radieux de Rabbit et l’amour inconditionnel qui relie chaque membre de cette famille peu conventionnelle sauront leur faire traverser cette épreuve.
Il y aura des sourires qui transperceront la tragédie et beaucoup, beaucoup de fantaisie pour que chacun profite pleinement de cette vie, comme Rabbit l’aurait voulu. »
Mon avis : J’avais beaucoup, beaucoup, aimé Les derniers jours de Rabbit Hayes en janvier. Je vous invite à (re)lire mon avis, d’ailleurs. Pour Sous un grand ciel bleu qui en est la suite, mon avis est encore plus enthousiaste, même si le sujet reste sensible : le deuil. Après le décès de Rabbit, sa famille haute en couleurs va devoir surmonter son chagrin, chacun à sa façon. Et sans jamais tomber dans le mélodrame, Anna McPartlin joue avec nos émotions au fil des pages, allant encore du rire aux larmes avec une simplicité déconcertante. En refermant le livre, j’ai vraiment ressenti cette satisfaction d’avoir trouvé un roman qui sublime le plaisir de la lecture, en offrant un panel de sentiments comme on voudrait en trouver dans chaque livre. C’est juste, bien écrit, bien rythmé… Vous avez saisi ? Je vous le recommande à 100% !
Les autres lectures du mois de septembre :
Le tourbillon de la vie, d’Aurélie Valognes
Quatrième de couverture : « Le temps d’un été, Arthur et son petit-fils rattrapent les années perdues. Plus de 60 ans les séparent, mais ensemble ils vont partager les souvenirs de l’un et les rêves de l’autre. Le bonheur serait total si Arthur ne portait pas un lourd secret.
Un roman sur le temps qui passe, la transmission et les plaisirs simples qui font le sel de la vie »
Mon avis : Aïe. Voilà une lecture qui ne restera pas dans les annales. J’ai pourtant plaisir, d’habitude, à lire les romans d’Aurélie Valognes. Mais Le tourbillon de la vie, malgré son histoire plaisante, m’a beaucoup horripilée. La raison est fort simple : parmi les deux personnages principaux, on trouve un petit garçon. Et à chaque fois qu’il ouvre la bouche, Aurélie Valognes s’obstine à vouloir en faire un « bon mot d’enfant ». Vous savez, ces petites phrases mignonnes avec des erreurs de vocabulaire, qui prêtent à sourire ? C’est gentillet une fois, deux fois, passe encore, mais ensuite, c’est insupportable. Et comme elle en a tartiné son roman tout du long, c’est d’une lourdeur qui m’a fait passer complètement à côté du reste. Next !
L’infini des possibles, de Lori Nelson Spielman
Quatrième de couverture : « Paulina Fontana, vieille dame pleine de fantaisie et de créativité en rupture de ban avec sa famille américaine, invite ses petites-nièces, Emilia et Lucy, à visiter son pays natal, l’Italie. Elle leur fait une déclaration fracassante : le jour de son quatre-vingtième anniversaire, elle rencontrera l’amour de sa vie et mettra fin une fois pour toutes à la « malédiction de la deuxième fille de la famille Fontana ». Cette « malédiction » n’est probablement rien d’autre qu’une coïncidence, un vieux mythe. Pourtant, personne ne peut nier que pendant des siècles, pas une seule deuxième née de la famille Fontana n’a trouvé l’amour. Que se passerait-il si ce supposé sort était brisé ? Emilia, qui, à 29 ans, semble accepter cette malédiction, trouverait-elle à son tour le grand amour ? Au cœur de la campagne Toscane, Paulina va finalement révéler des secrets de famille autrement plus troublants qu’une malédiction vieille de plusieurs siècles… »
Mon avis : J’ai beaucoup aimé ! L’infini des possibles, c’est un livre plutôt feel-good, avec une intrigue qui se tient, des personnages agréables, et un dénouement réussi.
Les BD lues en septembre :
J’ai découvert trois BD très différentes, sympathiques à lire. Mention spéciale pour la première, Ragoût aux truffes, qui est vraiment chouette ! La seconde est une adaptation d’une œuvre de Victor Hugo.
Ragoût aux truffes, de Le Bihan et Grolleau
Claude Gueux, de Séverine Lambour et Benoît Springer
Tu sais ce qu’on raconte, de Gilles Rochier et Daniel Casanave
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